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Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur

Photo du rédacteur: Blanc LapinBlanc Lapin

Le jeune Coriolanus est le dernier espoir de sa lignée, la famille Snow autrefois riche et fière est aujourd’hui tombée en disgrâce dans un Capitole d'après-guerre. À l’approche des 10ème HUNGER GAMES, il est assigné à contrecœur à être le mentor de Lucy Gray Baird, une tribut originaire du District 12, le plus pauvre et le plus méprisé de Panem. Le charme de Lucy Gray ayant captivé le public, Snow y voit l’opportunité de changer son destin, et va s’allier à elle pour faire pencher le sort en leur faveur. Luttant contre ses instincts, déchiré entre le bien et le mal, Snow se lance dans une course contre la montre pour survivre et découvrir s’il deviendra finalement un oiseau chanteur ou un serpent.


Après 4 films adaptés duyoung adult Hunger Games, voici le retour de la saga 8 ans après. On y retrove le même monde dystopique absolument terrifioant et sans aucune morale où le meurtre et est légitimé et mis en scène. On va même nous montrer l'origine du grand méchant, Coriolanus Snow, dans sa prime jeunesse. Et c'est probablement l'idée la plus géniale du film. Car question ambiance et jeux horribles, c'est un peu le même procédé et la méchante encore plus méchante que Snow jouée par Viola Davis est un poil too much.


Mais le film dispose d'un bon scénario qui explore l'amoralité du personnage, totalement voué à avoir un destin glorifié grace à son ambition. L'intérêt du film est cette confrontation entre l'humanité moins marquée qu'il a par rapport à ses congénères, froid et clinique et les sentiments qui vont tout de même le titiller. Tom Blyth est à ce titre très bon.


Le blockbuster d'action prend une densité qu'on n'attendait pas. Bonne surprise.


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