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De: Steve McQueen "Shame" est le second long métrage de Steve McQueen, à l'homonyme tellement classe "Shame" est donc l'histoire d'un homme seul qui s'est construit une prison à force de sombrer dans vient à éprouver une profonde empathie pour cet être déconnecté de toute joie, qui s'accroche à sa seule Le personnage de Fassbender exècre d'ailleurs les faux semblants car seule cette réalité crue lui semble

C'est intelligent et l'idée de faire se situer la série sur Terre, là où Alien ne s'est jamais passé, conglomérats qui cherchent à mettre la main sur une créature extraterrestre qui vient d'arriver sur Terre

Joel a certes été crédité seul sur certains de leurs chefs d’œuvre mais ils se partageaient en réalité Et c'est Shakespeare qui va les séparer le temps d'un seul film espérons le. noir et blanc mais d'une beauté sublime qui fait penser à The Barber, l'autre film que Joel a réalisé seul Le seul bémol est l'absence de grain de folie qui caractérise pourtant tant de film des frères Coen La piste aux Lapins : Terrence Malick

Avec seulement trois films à son actif — You Can Count On Me , Margaret  et Manchester by the Sea  —

’aube de l’humanité, les Éternels, un groupe de héros venus des confins de l’univers, protègent la Terre Le seul bémol majeur serait dans les méchants, assez gadgets puisque de gros monstres vus et revus mille

C'est intelligent et l'idée de faire se situer la série sur Terre, là où Alien ne s'est jamais passé, conglomérats qui cherchent à mettre la main sur une créature extraterrestre qui vient d'arriver sur Terre

plus que le recours aux effets numériques est minime, c'est du décor naturel et c'est à tomber par terre Seulement voilà, est ce que ceci suffit à réussir un film ? Un défaut que l’on retrouve dans "L’imaginarium du Docteur parnassus" de Terry Gilliam.

pilote de course perd la mémoire et a été accepté en maison médicalisée tandis que son fils retrouve la seule Mais justement, l'émotion est très forte car non seulement les deux acteurs sont d'une grande justesse On y mesure aussi les derniers espoirs de vie même au seuil de la fin.

Ils sont ternes, d'un teint pâle, et évoluent dans des tons beiges et gris, comme vidés de leur humanité Ils semblent dépressifs pour certains, et seul le personnage de Tom Hardy, davantage impliqué sur le Le seul bonheur ne peut se résumer qu'en réussissant à surpasser leurs confrères, en excellant dans leurs objectifs, à défaut de quoi le seul espoir de respirer réside dans le passage à l'est, ce qui Restituer une telle complexité devait passer par une mise en scène stylisée, un montage rigoureux et

2014 N°11 - "Interstellar" de Christopher Nolan A l'heure où la terre se meurt et devient hostile aux Nous allons donc suivre cet être sans aucune explication sur la façon dont elle a débarqué sur terre La complexité du récit est parfaitement bien gérée, le réalisateur ayant non seulement l'ambition de Car oui, ici, douze vaisseaux spatiaux apparaissent à la surface de la terre, aux douze coins du globe Car au final, seule la petite fille est sincère et libre.

À seulement 23 ans, Paul Kircher s’impose comme l’un des jeunes acteurs les plus prometteurs de sa génération

Le seul truc c’est que ces scènes nous rappellent aussi combien le film a manqué d’émotion et de profondeur Sean Baker préférant la comédie voir la farce à un film qui aurait pu être bien plus profond et pas seulement