Miroirs N°3
- Blanc Lapin
- 14 sept.
- 2 min de lecture
De Christian Petzold

Lors d'un week-end à la campagne, Laura, étudiante à Berlin, survit miraculeusement à un accident de voiture. Physiquement épargnée mais profondément secouée, elle est recueillie chez Betty, qui a été témoin de l'accident et s’occupe d’elle avec affection. Peu à peu, le mari et le fils de Betty surmontent leur réticence, et une quiétude quasi familiale s’installe. Mais bientôt, ils ne peuvent plus ignorer leur passé, et Laura doit affronter sa propre vie.
C'est la dernière fois que je me ferai avoir par la presse qui encense systématiquement Christian Petzold, réalisateur allemand qui incarne à lui tout seul le cinéma auteuriste chiant qui parcequ'il trouve une bonne chanson dans sa ba et un concept, pense qu'il a un scénario sous la main. Son film précédent "Le ciel rouge" m'avait déjà donné envie de me pendre au bout de 10 minutes. Là son film n'est absolument pas crédible une seconde. Cette jeune femme qui après un accident de voiture mortel pour son mec, ne contacte pas sa famille et squatte tranquillou chez une femme mure qui semble super chelou et à qui on ne confierait pas deux secondes son portefeuille ou son chat et encore moins, sa convalescence. Le film dure 1h30 et il parait durer cinq heures tellement il ne se passe rien. Les personnages sont amorphes et histoire s'étire et s'étire puisque le scénario n'a rien à dire. Ce genre de film est insupportable car il éloigne le public du cinéma d’auteur. C'est un cinéma complaisant qui se regarde le nombril et que j'exècre au plus au point. 1h50 de perdue le temps d'aller au ciné et de revenir. Qu'est ce que je lui en veux à ce Christian Petzold !!! Je suis furax.
La piste aux lapins :




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